Cruzito réunit la scène montréalaise au Bar Rodman pour un listening party intime et vibrant
Mercredi soir, le 26 novembre, le Bar Rodman vibrait d’une énergie bien particulière. Pas celle d’un showcase promotionnel comme on en voit tant, mais celle d’une famille musicale rassemblée autour d’un artiste qui, depuis plus de vingt ans, avance avec le cœur: Cruzito.
Pour ce listening party, l’endroit était comble. Des amis de longue date, des membres de sa famille, des collaborateurs créatifs, et plusieurs figures de l’industrie montréalaise avaient répondu présent. Le type de foule qui ne vient pas seulement écouter des chansons, mais témoigner d’un parcours. Et chez Cruzito, le parcours est presque aussi important que la musique.
Un créateur façonné par la vie et profondément enraciné dans sa communauté
Si Cruzito attire autant de respect dans l’industrie, c’est parce qu’il représente plus qu’une discographie. Il représente une résilience, une persévérance et un engagement émotionnel rares.
La présence notoire de collègues de l’industrie, de réalisateurs, d’artistes (David Campana, Imposs, Naomi, May Wells, Rymz, BB Puma, Fléau Dicaprio, J4DE, entre autres) confirmait l’empreinte que Cruzito laisse dans la communauté musicale montréalaise. Tout le monde semblait conscient d’assister non seulement à un événement, mais à une étape symbolique dans son parcours.
Les projets à venir de Cruzito laissent présager une suite riche : collaborations, nouveaux visuels, nouvelles explorations sonores. Le listening party du 26 novembre ressemblait moins à une fin de cycle qu’à un nouveau départ assumé.
En quittant le Bar Rodman, une chose semblait unanime: Cruzito n’est pas seulement en train de revenir. Il est en train de s’élever.
Et la scène montréalaise, telle qu’on l’a vue hier, rassemblée autour de lui, est prête à le suivre dans ce nouveau chapitre.